En 2024, la fonction publique compte 24 140 nouveaux apprentis, soit une baisse de 2,2 % par rapport à 2023. La majorité est recrutée dans la fonction publique territoriale (56 %), suivie de l’État (35 %) et de l’hospitalière (9 %). Les apprentis sont majoritairement des femmes (57 %), en moyenne âgées de 21,9 ans, et sept sur dix préparent un diplôme de l’enseignement supérieur. (25/08/2025 – Vie Publique)

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En France, le chômage touche 19 % des moins de 25 ans. Face à cette situation, le gouvernement propose un plan d’urgence incluant formation pratique, alternance, mentorat et découverte des métiers dès le collège. L’objectif : mieux informer les jeunes, faciliter leur insertion professionnelle et mobiliser les entreprises pour réduire le chômage des jeunes. (25/08/2025 – La Tribune)

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En Corrèze, des chantiers participatifs permettent à des bénévoles de contribuer à la construction de maisons écologiques en échange du gîte, du couvert et d’une formation aux techniques d’écoconstruction. Des étudiants, retraités ou passionnés apprennent sur le terrain tout en échangeant avec les maîtres d’œuvre. Ces projets, souvent relayés par des plateformes comme Twiza, favorisent mixité, partage de savoirs et engagement communautaire. L’objectif : construire autrement, expérimenter et créer du lien social, au-delà de la simple productivité. (25/08/2025 – Libération)

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Les grandes écoles françaises multiplient les levées de fonds auprès de riches diplômés pour compenser le recul des aides publiques. HEC, Polytechnique, CentraleSupélec ou ESCP mobilisent les alumni et grands donateurs pour financer bourses, recherches et infrastructures. La philanthropie repose sur une logique de “give back”, un engagement personnel et un suivi des projets financés. Les fondations professionnalisent leurs démarches : événements exclusifs, rencontres avec étudiants et chercheurs, et visibilité pour les donateurs. Malgré ces efforts, la volatilité des dons reste un défi, d’où l’importance d’élargir les bases de mécènes. (25/08/2025 – Challenges)

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Face à l’échec du Service national universel (SNU), le gouvernement envisage un service militaire volontaire destiné à renforcer la réserve des armées. Le dispositif viserait 10 000 à 50 000 jeunes par an, avec une formation militaire initiale de quelques semaines, et permettrait d’accroître la réserve opérationnelle, aujourd’hui de 47 000 individus, à 80 000 d’ici 2030. Il s’inspire des expériences européennes et repose sur le volontariat. (25/08/2025 – Le Figaro)

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