L'actualité

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Accueil de jeunes volontaires en mission d’intérêt général (MIG) dans le cadre du Service National Universel (SNU)


AGIS 06/Cap Jeunesse Côte d’Azur développe les Missions d’Intérêt Général (MIG) qui accompagnent l’insertion socioprofessionnelle des jeunes

La MIG est d’une durée de 12 jours ou de 84h en continu ou de manière perlée. Elle est à réaliser à la suite du SNU dans une structure publique (collectivités, établissements publics, organismes publics, services de l’Etat), une association ou un corps en uniforme (armée, gendarmerie, pompiers…)

Vous souhaitez en accueillir un.e ?

Contactez ainsi Michelle VELLA ou Cecile PINAUD pour échanger sur la ou les missions que votre structure pourrait proposer.

Campus France publie en partenariat avec Régions de France l’Observatoire territorial de la mobilité des étudiants & chercheurs


Cette nouvelle publication de l’Observatoire territorial de la mobilité internationale des étudiants et des chercheurs, qui fait suite à une première édition de 2018, est le fruit d’un partenariat entre Campus France, le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères (DAECT), France Urbaine, l’Association des villes universitaires de France (AVUF), et Régions de France.

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Quelle est la cible visée par l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés ?


En pratique, comment se calcule le taux légal de l’obligation ? Quelle est la cible d’emploi de personnes handicapées effectivement visée ?

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Cités éducatives : enjeux, obstacles, bilan depuis 2019


Les cités éducatives ont été mises en place en 2019 dans certains quartiers prioritaires de la politique de la ville. Elles reposent sur le renforcement d’une communauté éducative comprenant les professionnels de l’éducation et de l’enseignement. Quel est le bilan des premières années ?

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Insertion professionnelle des jeunes : un niveau de diplôme de plus en plus déterminant


Une enquête menée auprès de jeunes sortis d’études supérieures ou du cycle secondaire en 2017 montre une évolution positive du taux d’insertion professionnelle par rapport à la génération 2010. Une des raisons avancées est l’augmentation du nombre de bacheliers et de diplômés de cycles d’études supérieures.

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